Comme nous le rappelions en première lecture, l’aide aux Balkans ne justifie en aucun cas une révision des perspectives financières, pas plus qu’elle ne suggère, sous des prétextes fallacieux, une remise en cause, par une mise en réserve de 130 millions d’euros, des accords de pêche avec le Maroc.
As we pointed out at first reading, aid to the Balkans by no means justifies a revision of the financial perspective, and nor does it mean, spuriously, that the fisheries agreements with Morocco should be challenged, by entering EUR 130 million into a reserve.