À notre avis, une meilleure réponse serait d'examiner la question du point de vue de la discrétion judicaire plutôt que du consentement éclairé, car comme mon collègue l'a expliqué, la plupart des cas ont été divulgués après le fait; un juge pourrait donc demander : « Y a-t-il eu une relation de nature exploitante dans cette situation? » Cette façon de procéder aurait permis, en réalité, de protéger un plus grand nombre d'enfants puisqu'on pourrait relever l'âge jusqu'à 18 ans, ce qui viserait tous les autres enfants.
We felt that a better response would be to look at this issue in terms of judicial discretion to set aside informed consent since most of the cases, as my colleague talked about, were raised after the fact and that a judge could take a look and say, ``Did an exploitive relationship happen in this circumstance?'' That would have actually protected more children because you could have gone up to the age of 18, and all of these other children who are targeted by this other group would have been included.