Bon nombre d'entre eux—la plupart—retournent dans leur pays d'origine munis d'un passeport canadien. Donc, au lieu de les considérer comme des immigrants chinois qui n'ont pas pu réussir au Canada et ont dû retourner chez eux, il faut les voir comme constituant une diaspora canadienne à l'étranger et trouver différents moyens de cultiver, de renforcer et de maintenir tous ces réseaux pour qu'ils restent dans notre camp, pour ainsi dire.
Instead of thinking about them as Chinese immigrants who did not make it in Canada and had to go back, we should think of them as a Canadian diaspora or as overseas Canadians and find ways to cultivate, build, and maintain those networks so they stay in our camp, so to speak.