Il faut également noter q
ue John Mark Keyes, dans son article intitulé « La recommandation royale pour les projets de loi et
les amendements: l’essentiel », Revue parlementaire canadienne, volume 20, numéro 4, hiver 1997-1998, à la page 8, cite un passage de la page 717 de la 21 édition de l'ouvrage d'Erskine May, à propos des cas où la recommandation royale n'est pas requise, lorsqu'il s'agit notamment « [d']Élargir la compétence d'un tribunal ou créer des infractions même si elles peuvent avoir pour effet d'accroître les coûts de l'
...[+++]administration de la justice ».
It may be noted that John Mark Keyes in his article, “When Bills and Amendments Require the Royal Recommendation: A Discussion Paper and Guidelines”, Canadian Parliamentary Review, volume 20, number 4, winter 1997-98 at page 8 cites Erskine May, 21st edition, page 717, on cases were a royal recommendation is not needed as including, “Widening the jurisdiction of a court or creating offences although they may have the effect of increasing the costs of the administration of justice”.