M. Ken Epp: Lorsque mon fils était dans le sud du Soudan, il y a huit ou neuf ans, il nous a envoyé une lettre dans laquelle il nous disait que dans la petite ville où il travaillait, environ 150 enfants par jour mouraient de faim. Il nous a dit: «Notre présence ici a ramené le chiffre à 50 par jour, de sorte que nous faisons de grands progrès».
Mr. Ken Epp: When my son was in southern Sudan about eight or nine years ago now, he wrote us a letter saying that in the little town where they were working they were losing about 150 children every day through starvation, and he said, “Our presence here has reduced that to 50 per day, so we are making great progress”.