Les banques et les pétrolières sont les privilégiées de la politique fiscale de ce gouvernement, mais les entreprises forestières, les scieries, les papetières et les entreprises manufacturières québécoises qui n'ont pas fait de profit en temps de crise ne profitent pas des largesses fiscales consenties par les conservateurs.
The banks and the oil companies are the lucky beneficiaries of this government's tax policy, but there are no Conservative tax giveaways for Quebec's forestry companies, sawmills, paper companies and manufacturing companies that have not made a profit during this economic crisis.