Quand j'entends le sénateur Oliver parler français comme il l'a fait aujourd'hui, et quand on sait que les nouvelles générations apprennent de plus en plus le français d'un bout à l'autre du pays et l'anglais — il en va de soi au Québec — il y a eu lieu d'espérer qu'un jour toutes les voix de ce pays pourront s'entendre pour chanter à l'unisson dans les deux langues.
When I hear Senator Oliver speaking in French as he did today, and knowing that, increasingly, the new generations are able to speak French throughout the country — and English, of course, in Quebec — there is reason to hope that, one day, our voices can all join together to sing in both official languages.