Lorsqu'on signe des conventions fiscales avec des pays comme le Koweït ou d'autres, est-ce qu'on dit aux compagnies canadiennes qui appartiennent
à des femmes ou qui emploient des femmes que, si elles se trouvent dans ces pays et qu'il y a un litige civil ou criminel parce que des gens qui travaillent pour des compagnies peuvent être accusés de fraude pour des questions d'affaires, comme dans le cas actuel d'une compagnie canadienne dans un pays africain et que leurs employés sont des femmes, ou encore que le propriétaire ou des actionnaires ou autres sont des femmes canadiennes, leur preuve testimoniale n'aura pas le même poids que cell
...[+++]e des hommes?
When Canada signs tax conventions with countries like Kuwait and so forth, does it advise Canadian companies that are either owned by women, employ women or have shareholders who are women, that should a criminal or civil matter arise, any testimony given by a woman may not carry the same weight as testimony given by a man? After all, company employees can be accused of business fraud, as was the case with a Canadian firm with business dealings in one African country.