Il le sait et ne m’en tiendra pas rigueur.
Nous n’y avons pas consacré beaucoup de temps parce qu’elles tendent à transformer notre Parlement en une machine bureaucratique, où le rôle des députés, des groupes minoritaires et même des commissions doit être soumis au pouvoir décisionnel croissant, partiellement arbitraire, de la Conférence des présidents et de l’administration. En outre, ces réformes rendent confuse et fondamentalement conflictuelle la relation entre la commission compétente au principal et les commissions consultées pour avis dans la procé
...[+++]dure législative.