Ce que je dis, c'est que si c'est le cas, et que nous ne pouvons déterminer exactement ce qu'est la coercition ou si nous semblons avoir de la difficulté à le déterminer, pourquoi ne pourrions-nous pas laisser les tribunaux, qui ont l'expérience de mille ans de common law et qui se sont déjà penchés sur ces questions par le passé—je suis certain qu'il y a des volumes de jurisprudence sur la question—déterminer ce qui constitue de la coercition?
I guess what I'm saying is that if that's the case, and if we can't determine here exactly what coercion is or we seem to have trouble determining what it is, why would we not allow the courts, who have the benefit of a thousand years of common law and have reflected on these things in the past—I'm sure there are volumes of jurisprudence on this—to reflect upon what constitutes coercion?