La Cour suprême a statué que le simple préjudice porté à la réputation ne constitue pas une privation de la liberté; que même si un délinquant sexuel était privé de sa liberté, l’avis public au Connecticut ne précisait pas que le délinquant était toujours dangereux, seulement qu’il avait été déclaré coupable d’une infraction à caractère sexuel dans le passé; et que le délinquant avait déjà eu l’occasion de s’opposer à la déclaration de culpabilité en se prévalant de la procédure prévue à cet effet.
The Supreme Court held that mere injury to reputation does not constitute the deprivation of a liberty interest. Even if a sex offender was deprived of his or her liberty, the public notification in Connecticut did not state that the offender was currently dangerous, only that he or she had been convicted of a sex offence in the past.