Vu l’actuelle crise internationale de liquidités financières et le recul économique, nombreux sont ceux qui se permettent de devenir prudents en matière de fixation de cibles de CO2 à long terme ou qui n’osent pas pousser l’industrie à procéder aux réductions nécessaires de gaz à effet de serre pour faire avancer l’économie européenne vers l’économie durable à faibles émissions de carbone dont nous avons si désespérément besoin et qui, j’en conviens, déclenchera une troisième révolution industrielle, porteuse d’un passionnant «avantage au premier» pour l’Europe dans l’ensemble du secteur des nouvelles technologies.
The current international financial liquidity crisis and the economic backdrop has allowed many to grow cautious of setting long-term CO2 targets or of committing industry to achieving the necessary greenhouse gas reductions and thus driving Europe’s economy forward towards the low-carbon, sustainable economy which we so desperately need and which, I agree, will spark a third industrial revolution with exciting first-mover advantage for Europe in the whole area of new technologies.