Dans l'affaire Swietlinski, la Cour suprême du Canada a dit que les tribunaux devaient être prudents en admettant ces déclarations parce qu'elles tendent à attirer l'attention du jury sur les victimes et les expériences qu'elles ont vécues il y a quinze ans et invitent le jury à évaluer la pertinence de la peine imposée à l'origine du point de vue du châtiment et de la renonciation, ce qui n'est pas le but des audiences prévues à l'article 745.
The Supreme Court of Canada ruled in Swietlinski that the courts must be cautious in admitting these statements, as they tend to focus the jury on the victims and their experiences some 15 years ago and invite the jury to assess the appropriateness of the original sentence in terms of retribution, denunciation, and punishment goals, which are not what section 745 hearings are about.