Pas étonnant, dès lors, quand on parle d'alphabétisme ou d'analphabétisme, que les statistiques montrent très clairement — et je ne prends qu'un seul exemple, celui de l'éducation universitaire — que l'analphabétisme chez les francophones dans l'ensemble du Canada, incluant le Québec, est beaucoup plus élevé que chez nos amis et compatriotes de langue anglaise.
So it's not surprising, when we talk about literacy and illiteracy, that the statistics very clearly show—and I'm citing only one example, university education—that there is a much higher level of illiteracy among Francophones across Canada, including Quebec, than among our English-language friends and compatriots.