La farce démocratique qui se joue ici, c'est que c'est le ministre de la Justice, ou plus probablement le ministre de la Sécurité publique et de la sécurité nationale, qui devrait être assis
là où se trouve Mme Hoeppner, et avec lequel nous devrions avoir suffisamment d
e temps — peut-être même en le convoquant plus d'une fois devant notre comité — pour traiter du genre d'inco
hérences factuelles dont nous fait part Mme Hoeppner aujo
...[+++]urd'hui.