Or, la Cour suprême du Canada a clairement indiqué que cet outil essentiel ne pourra être retenu que s'il ne contrevient pas à la Constitution et que les dispositions de l'article 184.4 du Code criminel concernant la protection de la vie privée doivent donc être améliorées pour obliger les services de police à aviser, a posteriori, les personnes ayant fait l'objet d'une interception de communication par mise sur écoute.
However, the Supreme Court of Canada has clearly said that in order to retain this essential tool in a way that does not contravene the Constitution, the privacy provisions provided in section 184.4 of the Criminal Code need to be improved by requiring the police to notify, after the fact, persons who were the object of the wiretap interception.