Mais le dire, jette quelque lumière sur les difficultés que nous avons rencontrées au cours d
es 18 mois qui nous sépare du Sommet de Tampere : des difficultés telles que le besoin de dis
positifs juridiques distincts dans les premier et troisième piliers ; le besoin de s’occuper des États membres faisant partie de Schengen et de ceux qui ne le sont pas ; la triste prédisposition de certains États membres à se lancer tête baissée dans des initiatives individuelles avant que les institutions
n’aient pleinement ...[+++]débattu d’une approche générale.