Si nous allons à Genève alors que nous avons une loi nationale qui dit que peu importe le degré de toxicité d'une substance, celle-ci peut être rejetée dans l'environnement en une quantité acceptable fixée par le gouvernement ou par le ministre, nous n'aurons vraiment pas obtenu sa quasi-élimination. Alors comment pourrons-nous, lors de discussions internationales, demander à des pays où il existe des solutions de rechange appropriées, de cesser d'utiliser une substance qui nous inquiète?
If we go to Geneva with domestic legislation that says that, no matter how toxic a substance is, it can be released in an acceptable quantity set by the government or by the minister, then we really have not achieved virtual elimination, so how can we, internationally, ask countries, where alternatives exist and are appropriate, to stop using a substance of concern?