Dans ce cas également, de par le recours à la discrétion ministérielle, nous relevons l'octroi d'un pouvoir discrétionnaire aussi vaste que subjectif et sans besoin de rendre compte, à un ministre qui est ainsi habilité à exercer ses pouvoirs en vertu de la loi pour approuver ou refuser une demande de transfèrement d'un détenu, une fois de plus sans avoir à articuler ces critères de manière réglementaire, et sans le moindre mécanisme de responsabilisation.
Here again, using the device of ministerial discretion, we see a grant of wide, unaccountable and subjective discretion to a minister to exercise authority under the act to approve or deny a request for prisoner transfer, again with no statutory or even regulatory articulation of those criteria, much less a mechanism of accountability.