Tant que les pays en développement n’auront rien à dire ou presque, dans sa politique et sa prise de décisions, la Banque mondiale restera perçue comme un instrument de contrôle aux mains des soi-disant riches, plutôt que comme une institution internationale axée sur la stabilité et le développement, dans un esprit de respect mutuel et de partenariat solide.
As long as the developing countries have no real say in its policy and decision-making, the World Bank will continue to be perceived as a control instrument in the hands of the so-called rich, instead of an international institution that is geared towards stability and development, in a spirit of mutual respect and solid partnership.