Selon une dame proche de la victime d'un meurtre commis à Toronto, il est déjà difficile de rédiger la déclaration des victimes sur les répercussions, c'est encore plus frustrant d'avoir à le faire 30 jours d'avance pour que le meurtrier puisse en prendre connaissance, alors que les victimes n'ont pas le droit de savoir d'avance ce que ce dernier entend dire lors de son audience.
A victim in a Toronto murder case commented that as difficult as it was to write the victim impact statement, it was also frustrating that she was required to submit the statement 30 days in advance so that the convicted murderer could read it, because the victims are not allowed to see the murderer's material in advance to find out what he wants to say.