Dans l'affaire Kamasinski contre Autriche (1989), la Cour européenne des droits de l'homme a déclaré que tous les documents écrits, y compris les éléments de preuve nécessaires au défendeur pour présenter correctement sa défense devant la Cour, devaient être traduits et qu'il appartenait aux autorités judiciaires, pourvoyeuses de ces services, de veiller à la compétence de l'interprète.
In the case of Kamasinski v Austria (1989) the European Court of Human Rights held that all written documents including statements of evidence necessary for the defendant to put his case adequately before the court should be translated, and that those providing the service, i.e. the judicial authorities, are responsible for the competence of the interpreter.