Cela s'explique en grande partie par le fait qu'ils étaient incapables de reconnaître l'importance des télécommunications globales, comment elles avaient évolué et quelles étaient les compétences dont certains ministères comme le MAECI, par exemple, devaient se doter pour entamer un dialogue avec les gouvernements concernés, ainsi qu'avec les organismes internationaux appropriés.
This is largely because there was a lack of capacity in recognizing the importance of global telecommunications, how it has changed and what competencies needed to exist in departments such as DFAIT, for example, to even engage with governments and proper international bodies around these questions.