M. Coleman : J'ajouterais simplement que, si des personnes souffrant de maladie mentale sont victimes de crime — si elles ont été agressées, détroussées ou poignardées, ce
qui arrive souvent dans les rues et dans les cas des sans-abri — il est éviden
t que de nombreuses organisations policières, comme celle pour laquelle je travaillais et celle pour laquelle je travaille actuellement, des organisations qui sont axées sur les victimes et qui sont composées d'un grand nombre de bénévoles, il est évident donc qu
e ces orga ...[+++]nisations prennent contact avec les gens par la suite et, si l'affaire aboutit devant les tribunaux, ils vont même en cour pour les aider et pour les accompagner dans les dédales du système.
Mr. Coleman: I could just add to that: If people who are mentally ill have been a victims of crime — they have been assaulted, they have been mugged, they have been stabbed, and this often occurs with our street and our homeless people — in many police organizations, and certainly in the one I used to work in and the one I currently work in, victim services organizations, which are composed largely of volunteers, will make some subsequent contact, and if it results in a court case, will even go to court with them and help them work their way through the system.