Lorsque le ministre et les officiers de la Gendarmerie royale se sont présentés devant le Comité des opérations gouvernementales, ils n'ont à peu près pas eu de réponse à of
frir lorsqu'on leur demandait: «Mais quels sont les motifs pour lesquels vous vous opposez à la syndicalisation, à la libre négociation des conditions de travail entre les agents de la Gendarmerie royale et le gouvernement, leur employeur?» Tout ce qu'on a pu nous dire, c'est que, étant donné que les agents
de la GRC devaient aussi s'occuper de la séc ...[+++]urité des ambassadeurs et du corps consulaire, ils n'étaient pas comme les autres policiers au Canada, qui eux n'avaient pas ces fonctions à offrir ou à accomplir.
When the minister and RCMP officers appeared before the government operations committee, they were hard put to answer the following question: ``For which reasons are you opposed to unionization, to free negociation of working conditions between RCMP police officers and the government, their employer?'' All they could say was that since RCMP officers had to look after the safety of ambassadors and members of the consular corps, they could not be compared to other Canadian police officers who dit not have to perform such duties.