Ainsi, si notre génération veut sincèrement que les prisonniers politiques tels que Aung San Suu Kyi soient libérés, que l’abjecte traite des femmes et des enfants à des fins d’exploitation sexuelle soit éradiquée et que les responsables de l’épuration ethnique de Darfour et des Balkans soient traduits en justice, nous devons défendre le concept de droits de l’homme chez nous et à l’étranger.
So if our generation is sincere in seeking the freedom of political prisoners like Aung San Suu Kyi, tackling the despicable trade in women and children for sexual exploitation and bringing the perpetrators of ethnic cleansing in Darfur and in the Balkans to justice, we have to defend the concept of human rights at home as well as abroad.