Ce que l'on craint exactement, c'est que le faible montant des contributions prévu dans le projet de loi C-2, aujourd'hui 1 100 $ par personne, conjugué aux restrictions quant à l'identité des prêteurs — les institutions financières — et par conséquent quant aux obligations imposées à la personne qui contracte l'emprunt, à savoir des garanties ou une
caution quelconque, tout cela peut créer un obstacle irréaliste empêchant des gens de pouvoir se lancer
, par exemple, à la course ...[+++] à la direction d'un parti à l'échelle nationale ou même de se porter candidat au niveau d'une circonscription, et il n'y aurait aucune association politique susceptible d'intervenir en cas de défaut.
The specific concern is that the low amounts of contribution in Bill C-2, now $1,100 per individual, combined with the restrictions on who can provide loans—financial institutions—and therefore the obligations they will extract from the person they are lending to, guarantees or some sort of collateral, may create an unrealistic barrier to entry for people entering, say, a national leadership race in a party or even a nomination, and they may not have a political association to fall back on should they default.