Parce que pour revenir à la question de la culture et de la crédibilité politique, la présence de Saïd Mortazavi a été comme une gifle à la figure pour les Nations Unies comme pour le Canada, lorsqu'ils ont vu que l'un des tortionnaires les plus notoires d'Iran, qui est accusé par une commission parlementaire iranienne du meurtre brutal d'une citoyenne canadienne, pouvait faire partie de cette commission.
Because, getting back to the question of the political culture and credibility, the presence of Said Mortazavi was a slap in the face — both to the United Nations and Canada — that someone who is one of the most notorious torturers in Iran and implicated by an Iranian parliamentary commission in the brutal murderer of a Canadian citizen would be present at this commission.