Selon le raisonnement de la Cour suprême du Canada dans la cause General Motors of Canada Ltd. c. City National Leasing, on pourrait peut-être considérer que l'établissement du droit de recours civil par la LJVAT s'inscrivait dans le contexte législatif plus large des modifications appor
tées à la Loi sur l’immunité des États, modifications qui constituent la deuxième partie du projet de loi C-35 et qui semblent relever de la compétence du Parlement en vertu de son pouvoir de légiférer sur les affaires étrangères et le commerce international(28). Cet argument aurait cependant plus d
e poids si la LJVAT ...[+++]créait un droit d’action uniquement contre des États étrangers, plutôt que contre des États étrangers, des personnes, des organisations et des entités inscrites.Following the reasoning of the Supreme Court of Canada in General Motors of Canada, it is possible that the civil right of action set out in the JVTA could be viewed as having been enacted in the broader legislative context of the amen
dments to the State Immunity Act, which comprise the second part of Bill C-35 and which appear to be within Parlia
ment’s jurisdiction under its power to legislate with respect to foreign affairs and international trade (28) This argument would have greater force, however, if the JVTA were creating a righ
...[+++]t of action against foreign states only, rather than against foreign states, individual persons, organizations and listed entities.