Une étude menée en 2010 par la professeure Tracey Derwing, de l'Université de l'Alberta, pour le compte de Citoyenneté et Immigration Canada a révélé que la modification des critères linguistiques et les examens plus rigoureux auront probablement des répercussions négatives sur deux groupes figurant parmi les populations les plus vulnérables, en l'occurrence les réfugiés et les femmes parrainées de l'Asie de l'Est et de l'Asie du Sud-Est, et que ces mesures pourraient les empêcher d'avoir accès à la citoyenneté.
A study conducted by Professor Tracey Derwing of the University of Alberta for Citizenship and Immigration Canada in 2010 indicated that altering language benchmarks and increasing the stringency of testing will likely have a negative impact on two of the most vulnerable populations, namely refugees and sponsored women from east Asia and Southeast Asia, and may affect their ability to access citizenship.