Le 18 janvier dernier, le ministre de la Justice, en réponse à une demande de son collègue du Québec, a refusé de criminaliser explicitement l'excision et les autres mutilations génitales, prétextant que les articles actuels du Code criminel canadien étaient suffisants.
On January 18, the minister, in reply to a request made by his counterpart in Quebec, refused to explicitly prohibit female circumcision and other genital mutilation, under the pretext that the current provisions of the Criminal Code of Canada sufficed.