La commission estimait qu'elle disait la vérité, qu'elle avait vécu une expérience terrible et qu'elle ne devait pas retourner en Hongrie. Cependant, un membre de la commission lui a dit que sa demande était très crédible, qu'elle semblait en effet craindre de subir une importante discrimination en retournant dans son pays, mais qu'elle ne pouvait être acceptée à titre de réfugiée en danger de persécution.
I find that you're basically in fear of severe discrimination that is still continuing in your country, but I can't accept you as a refugee in danger of persecution”.