Elle révèle, entre autres, que les enfants de mères divorcées ou jamais mariées courent entre six et 30 fois plus de risques de subir de graves sévices que les enfants élevés par un couple de parents biologiques marié, et que le taux de violence est six fois plus élevé dans les familles reconstituées, 14 fois plus élevé dans les familles gynoparentales et 20 fois plus élevé dans les familles dont les parents biologiques vivent en situation d'union de fait.
Among the findings of the study were that children of divorced or never married mothers were 6 to 30 times more likely to suffer from serious abuse than children raised by biological, married parents, and that the rate of abuse was six times higher in step families. It was 14 times higher in the single mother family and 20 times higher in cohabiting, biological parent families.