Mme Pierrette Venne: Monsieur le Président, ce que je comprends de la motion du député de l'Alliance canadienne est à l'effet que ce ne serait pas le CIPC qui serait responsable de l'information et de l'accumulation de l'information, mais les corps policiers qui seraient individuellement responsables de chacune des informations qu'ils recevraient, puisque les prédateurs sexuels s'enregistreraient auprès des corps policiers locaux.
Ms. Pierrette Venne: As I understand the Canadian Alliance member's motion, responsibility for gathering and maintaining the information would not lie with CPIC but with police forces, which would be individually responsible for all the information they would receive, since sexual predators would be listed with local forces.