Je pense que la position de nos adversaires de l'autre côté de la Chambre, de nos
amis, je dirais, de contraindre un jeune adolescent, qui en est à sa première offense mineure, de se soumettre à des mesu
res de redressement dans un centre d'accueil, et d'affirmer, comme ils le font, que c'est préférable à une intervention de ses parents, de la communauté ou d'un organisme de prévention du crime, d'affirmer que ce
jeune a besoin mesu
res de redressement dans ...[+++] un centre d'accueil, c'est tout simplement inacceptable.