L'Europe, dont l'infrastructure est grandement axée sur la Russie, pourrait compléter son approvisionnement en gaz de la Russie avec un léger approvisionnement en gaz de la Norvège et en gaz naturel liquéfié du marché mondial, faire un retour à l'énergie au charbon, reconsidérer l'énergie nucléaire, accentuer la consommation d'énergies renouvelables et intensifier ses efforts de conservation, mais au bout du compte, la Russie va demeurer un fournisseur de choix.
Europe, with so much Russian-focused infrastructure, may augment a small portion of Russian gas with a little more gas from Norway, a little more LNG from the world market, a switch back to more coal, revisiting nuclear, ramping up renewables, and redoubling conservation efforts, but in the end, Russia still remains a key player.