En 1993, M. le juge Sopinka, de la Cour suprême du Canada, qui a rédigé la décision majoritaire dans l'affaire Rodriguez, a également reconnu le droit des patients de ne pas consentir à un traitement ou de demander que le traitement soit interrompu, même si la mort devait en résulter.
In 1993, Mr. Justice Sopinka of the Supreme Court of Canada, writing for the majority in the Rodriguez case, also acknowledged the right of patients to refuse to consent to treatment or demand that treatment be withdrawn even where doing so would result in death.