Il leur a dit de consentir de nouveaux prêts aux pays du tiers monde pour qu'ils puissent verser l'intérêt des prêts existants de manière à ce que ceux-ci ne soient plus des prêts non productifs—autrement dit, de telle manière que le monde, et plus particulièrement leurs déposants, n'en sache rien—jusqu'à ce que lui, Volcker, puisse convaincre le FMI de venir à la rescousse avec l'argent des contribuables, ce qu'il a fait en fin de compte.
You have to make new loans to those third world countries so they will have the money to pay the interest on the old loans so those loans will not be non-performing—in other words, so the world, and especially your depositors, will never know—until I can get the IMF to ride to the rescue with taxpayers' money”.