La vérité est également que le manque de connaissance de la structure géographique de ces espèces et le manque de données scientifiques fiables ont entraîné que les TAC et les quotas ont été fixés pour des zones de gestion extrêmement vastes et qu’ils étaient également trop restrictifs, allant même au-delà des conditions imposées pour les espèces soumises à des plans de reconstitution.
The truth is also that the lack of knowledge of the geographical structure of these species and the lack of reliable scientific data meant that TACs and quotas were set for extremely broad management areas and that they were also too restrictive, even going beyond the conditions imposed for species subject to recovery plans.