Au vu des informations disponibles, il ne semble pas nécessaire, pour protéger la santé publique, de fixer une ten
eur maximale en OTA dans les fruits séchés autres que les raisins secs, le cacao et les produits à base de cacao, les produits à base de viande,
y compris les abats comestibles et les produits sanguins, ni dans les vins de liqueur, puisque ces denrées ne contribuent pas considérablement à l’exposition
à l’OTA et que des teneurs élevées en OTA n’on ...[+++]t été que rarement décelées dans ces denrées.