La question est donc: si nous sommes forcés en
tant que comité de choisir entre la voie indiquée, celle qui nous paraît légitime compte tenu d'une somme considérable de renseignements, mais que nous devons aussi reconnaître que dans tout cela, la perception du public est très différente de ce que nous assimilons à la
voie indiquée, à quel moment serait-il répréhensible pour nous de choisir une voie que nous savons erronée, mais dont nous savons aussi qu'elle est considérée comme étant la bonne aux yeux du grand public, dans l'intérêt de la confiance du pu
...[+++]blic à l'égard du système de justice pour les jeunes?
The question becomes, if we're forced as a committee to choose between doing the right thing, where we believe there's considerable evidence to suggest we should go a certain route, but we also recognize that the public's perception of all of this is quite different from what we believe is the right thing to do, at what point is it wrong for us to pursue a course of action that we know to be wrong, but that we also realize the public believes to be right, in the interest of public confidence in the youth justice system?