Cette distinction nous apparaît fondamentale parce qu’il est d’usage fréquent, à tous les niveaux du discours public – qu’il s’agisse de celui des politiques, du grand public, comme des experts – d’incriminer la substance – ici le cannabis, là l’alcool ou les médicaments, voire les autres drogues illicites – quand en fait il faut apprendre à distinguer entre des formes et manières d’usage.
We feel this distinction is fundamental because it is common, at all levels of public discussion – whether involving politicians, the public at large, or experts – to blame the substance – here cannabis, there alcohol or medications, even other illicit drugs–when in fact we must learn to distinguish between patterns and methods of use.