Vous avez, je pense, raison, mais c'est simplement que cette formule sera retenue de préférence à une autre. C'est-à-dire que si un investisseur américain souhaite investir au Canada, sachant que la SARL constitue le moyen idéal de procéder en raison de la souplesse qu'elle offre au regard de la fiscalité américaine et, aussi du commerce, les difficultés que cette formule soulevait au regard de la législation fiscale actuellement en vigueur au Canada, décourageaient son emploi.
That is, if an American investor wanted to invest in Canada, knowing that the LLC was the ideal way to make that investment because of its flexibility for U.S. tax and commercial purposes, the problem they ran into under the current Canadian tax law meant that the LLC simply wasn't used.