Pour ce qui est de l'application d'un crédit d'imp
ôt remboursable aux armateurs canadiens qui s'engagent à faire construire, à faire transformer pour une nouvelle affectation ou à faire rénover substantiellement un navire dans un chantier naval canadien, le meilleur exemple—et c'est une réussite—en est celui d'un volet de la politique provinciale qui existe actuellement au Québec, à laquelle on attribue, tout au moins en partie, le fait que les constructeurs québécois ont r
éussi à conclure un certain nombre de marchés ...[+++].