Dans le Livre vert, la Commission refuse en effet de considérer la pêche comme un secteur économique normal, vital pour l’économie de pays côtiers déterminés, comme la Galice que je représente, un secteur qui doit développer ses activités à l’intérieur de normes établies par les Traités, en respectant tout particulièrement les principes de développement durable.
In the Green Paper, the Commission in fact refuses to consider fisheries as a normal economic sector, crucial to the economy of various maritime countries, such as Galicia, which I represent, and as a sector which must carry out its activities within the norms laid down in the Treaties, respecting, above all, the principles of sustainable development.