C’est ce qui transparaît également dans l’exposé des motifs qui accompagne la proposition et dont le point 2.1.2 prévoit que «la question de l’instauration d’une obligation spécifique en vue d’engager la responsabilité pénale des clients recourant, en connaissance de cause, aux services sexuels d’une personne faisant l’objet de la traite des êtres humains a été controversée.
This is also reflected in the Commission’s explanatory memorandum accompanying the proposal, point 2.1.2 of which states that ‘the issue of introducing a specific obligation to criminalise clients who knowingly use sexual services from a trafficked person was controversial among stakeholders.