Roberts, qui était lui aussi poète au moment de la Confédération, vivait, travaillait et se faisait publier aux États-Unis. Roberts, âgé d’un an de plus que son cousin, était qualifié de « Père de la poésie canadienne », mais Carman était reconnu officieusement comme le « poète lauréat du Canada ».
Roberts, lived, worked, and published in the U.S. While Roberts, one year older, was called the “Father of Canadian Poetry,” Carman was known as the unofficial “Poet Laureate of Canada”.