À mon avis, si les industries culturelles doivent fonctionner de façon réaliste sur le plan de l'impôt dans notre pays, qu'elles soient propriétés canadiennes ou étrangères, les recettes fiscales tirées de toute l'activité commerciale des industries culturelles, adéquatement compilées, représenteraient plus que toute subvention ou tout autre programme à caractère fiscal dont nous parlons aujourd'hui.
I would argue that if the cultural industries had to operate in a tax-realistic way in this country, foreign- or Canadian-owned, the tax revenue from all the business done in the cultural industries, properly reported, would be more than any grants or any other programs of tax issues that we are talking about.