Deuxièmement, comme nous l'avons déjà dit, le problème n'est pas pour les éditeurs canadiens de séduire le lectorat, puisqu'on le fait, et qu'on le fait parce que les Canadiens veulent lire ce que nous avons à leur présenter, en plus de ce qu'ils peuvent lire dans des revues étrangères, surtout américaines.
Secondly, though, as we've pointed out, the issue isn't whether Canadian publishers do compete successfully for readers, because we do, and we do because Canadians want to read what we have to deliver along with what they want to read in foreign magazines, mostly American.