Au moment où les fonds deviennent de plus en plus rares, les institutions canadiennes-françaises sont les premières à être sacrifiées, comme si les Canadiens français devaient toujours se contenter de la deuxième place, sauf lorsque les circonstances sont des plus favorables.
As money gets scarcer, francophone institutions end up first on the chopping block, as if second-best was invariably good enough for French-speaking Canadians in all but the most prosperous of circumstances.